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Urbanisme & habitat

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Logement et foncier

Cette ambition repose sur des constats clairs : une urbanisation non maîtrisée, une fiscalité immobilière peu mobilisée, une gestion foncière opaque, et une absence de logements sociaux accessibles.L’objectif est de bâtir une politique de logement qui soit à la fois inclusive, durable et génératrice de valeur pour l’État et les familles. Ces réformes devront s’appuyer sur des outils modernes de planification, de gestion foncière et de mobilisation des ressources locales. Élaborer une politique nationale de l’habitat inclusive et territorialisée Mettre en place un Plan national de l’habitat et du logement social, avec des objectifs clairs par région et par catégorie sociale. Créer une Agence nationale du logement social, chargée de la planification, du financement et du suivi des projets de logements pour les classes moyennes et les populations vulnérables. Intégrer les enjeux de genre, d’accessibilité et de durabilité dans les critères de conception des logements. 2. Réformer la gestion du foncier et du patrimoine public Mettre en place un cadastre numérique national interconnecté avec les communes, les services fiscaux et les ministères techniques. Lancer une campagne de régularisation foncière pour sécuriser les droits des occupants et prévenir les conflits. Créer un registre public du patrimoine immobilier de l’État, avec des mécanismes de transparence et de valorisation économique. 3. Moderniser la fiscalité immobilière Doter chaque bâtiment d’une adresse physique normalisée, en lien avec un système d’identification géographique. Mettre en place une plateforme numérique de collecte de l’impôt foncier, accessible aux communes et aux citoyens. Former les agents municipaux à la gestion fiscale locale et à la mobilisation des ressources propres. 4. Développer des programmes de logements sociaux Identifier les zones prioritaires pour la construction de logements sociaux subventionnés, en partenariat avec les collectivités et le secteur privé. Créer des mécanismes de financement adaptés : microcrédit logement, location-vente, subventions ciblées. Intégrer les logements sociaux dans des quartiers mixtes, avec accès à l’eau, à l’électricité, aux écoles et aux transports. 5. Repenser l’aménagement du territoire Élaborer des schémas directeurs régionaux d’aménagement du territoire, en lien avec les plans communaux de développement. Décentraliser les compétences en urbanisme vers les communes, avec des outils de planification participative. Intégrer les enjeux environnementaux, climatiques et de résilience dans les projets d’aménagement (zones inondables, reboisement, corridors écologiques). 6. Renforcer la gouvernance et la coordination intersectorielle Créer un Conseil national de l’habitat et de l’aménagement du territoire, réunissant les ministères, les collectivités, les professionnels et la société civile. Mettre en place un observatoire du logement et du territoire, chargé de produire des données fiables et de suivre les indicateurs de performance. Organiser des forums régionaux de concertation pour adapter les politiques aux réalités locales et renforcer la redevabilité.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Eau et électricité

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Accès à l’électricité et électrification

Nos Propositions concrètes du Bloc Libéral 1. Décentraliser la gouvernance énergétique Créer des Agences Communales de l’Énergie chargées de planifier, gérer et suivre les projets énergétiques locaux, en lien avec les collectivités Intégrer les projets énergétiques dans les Plans Communaux de Développement pour assurer leur cohérence avec les besoins locaux. Former les élus locaux à la planification énergétique participative, en s’inspirant des modèles de gouvernance inclusive promus par l’UNICEF et la BAD. 2. Diversifier les sources d’énergie Déployer des microcentrales hydroélectriques dans les zones montagneuses et rurales. Installer des kits solaires domestiques et communautaires dans les zones non couvertes par le réseau national. Encourager les projets éoliens côtiers et les unités de biogaz dans les zones agricoles. 3. Renforcer la transparence et la redevabilité Mettre en place un Observatoire Citoyen de l’Énergie, chargé de suivre les performances, les budgets et les impacts des projets énergétiques. Publier annuellement un rapport de gouvernance énergétique locale, avec des indicateurs de durabilité, d’inclusion et d’efficacité. 4. Favoriser les partenariats public-privé (PPP) Créer un cadre juridique incitatif pour les PPP dans l’énergie, avec des garanties pour les investisseurs et des obligations de contenu local. Lancer un fonds d’investissement vert pour cofinancer les projets innovants portés par les communes et les entreprises locales. 5. Réduire la dépendance au charbon de bois Subventionner les fours améliorés et les alternatives au charbon (gaz domestique, briquettes écologiques). Mettre en œuvre une stratégie nationale de reboisement communautaire, en lien avec les projets d’atténuation climatique Adopter une loi sur la gouvernance énergétique locale, définissant les rôles des communes, des citoyens et des partenaires. Créer une plateforme numérique de suivi des projets énergétiques, accessible aux citoyens et aux élus. Lancer un programme pilote dans 5 communes rurales, combinant microprojets solaires, gouvernance participative et formation locale. Organiser un Forum National de l’Énergie Décentralisée, réunissant les acteurs publics, privés et communautaires.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Accès à l’électricité et électrification

Développer et moderniser le réseau national d’interconnexion électrique en vue d’optimiser la desserte électrique ;

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Accès à l’électricité et électrification

Électrifier 10 000 localités Financement : FSE + green bonds énergie

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Indépendance de la justice et réforme judiciaire

L’indépendance de la justice sera consacrée. Ceci inclut la protection de la magistrature envers les autres pouvoirs institutionnels, envers les sujets économiques et sociaux, envers la hiérarchie judicaire. Tous les cours, tribunaux et les différentes instances de l’appareil judiciaires vont s’administrer librement sans injonction du prouver exécutif. La modification constitutionnelle doit être rendue transparente et relèvera de la seule autorité du peuple. La période entre le premier vote référendaire sur la modification et sa rentrée en vigueur doit être fixée à cinq ans minimum. Aussi, toute modification de la constitution doit être inapplicable au Président de la République et aux parlementaires en fonction durant la période de modification. Toute modification constitutionnelle sera désormais régulée par la loi et non pas par un homme mais par soit les représentants du peuple ou par le peuple directement par consultation par consultation référendaire. V.Faire de l’état de droit et de la justice des leviers de la bonne gouvernance La réforme de la justice doit entraîner un renforcement du droit des justiciables et la mise en place d’un système judiciaire performant. Dans ce cadre, le BL s’engagera à développer une politique globale de la justice, de la prévention et de sécurité qui associeraient les citoyens. La réorganisation profonde du système juridique, socle du développement de notre nation, est indispensable. Cela présuppose de : - - - - rapprocher la justice aux justiciables ; veiller à l’interdépendance du pouvoir judiciaire vis-à-vis des pouvoirs exécutif et législatif ; veiller à l’indépendance du magistrat vis-à-vis de la hiérarchie ; mettre en place une politique de formation continue des cadres et agents de la Police nationale ; renforcer la lutte contre la corruption ; mettre en place un système de rémunération qui reconnaisse le mérite et les performances ; informatiser le système judiciaire (Casiers judiciaires, archives juridiques) ; doter les juges et magistrats des moyens adéquats leur permettant de travailler selon l’éthique de la profession. - - - - Pour le BL, la justice doit être rendue publiquement avec droit à la défense ; la justice doit se prononcer pour la peine capitale. Ainsi, la restructuration de l’outil judiciaire doit s’appuyer sur un système judiciaire performant. les solutions phares du BL sont : a) La mise en place de Palais de Justice au niveau décentralisé Des cours et tribunaux Comme les régions et les préfectures se verront revus leurs formes et statuts, il en sera de même pour des cours et tribunaux qui connaitront une réorganisation profonde afin de rendre plus utiles et plus performants.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

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Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

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Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

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Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

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Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Indépendance de la justice et réforme judiciaire

RIORITÉ 3: MODERNISER L'ÉTAT ET RÉFORMER LA JUSTICE Le projet porté par le candidat Mamadi DOUMBOUYA place la création d'un État moderne et impartial au cœur du projet national. II s'agit d'établir un Etat respectueux des lois et des principes fondamentaux, où chaque citoyenne, chaque citoyen bénéficie d'une protection equitable. Ce nouveau paradigme vise a réhabiliter la justice et a assurer la préservation des droits de tous, dans un environnement où la légalité et la dignité humaine sont centrales. La réforme profonde de la justice s'impose comme une priorité. Les institutions judiciaires doivent être indépendantes, impartiales et accessibles sans entrave, ni discrimination. Cette refonte vise a garantir l’impartialité des décisions, à renforcer la confiance des populations dans l'institution judiciaire et à permettre un accès effectif pour tous.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Médias & TIC

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Inclusion numérique & E-Gouvernance

Télécommunications et administration numérique a) Infrastructure haut débit Déployer la fibre optique sur tout le territoire, en commençant par les écoles, les centres de santé et les mairies. Créer des points d’accès communautaires dans les villages via les écoles et centres de formation. b) Administration numérique Informatiser l’état civil, les cartes d’identité, les passeports et les procédures administratives. Créer une plateforme nationale de services publics en ligne, accessible via mobile. c) Inclusion numérique Créer une plateforme nationale de services publics en ligne, accessible via mobile. Équiper les écoles et universités en salles multimédia connectées. Former les jeunes à la cybersécurité, au codage et à la gestion des données. Adopter une loi sur la gouvernance inclusive des infrastructures, intégrant les collectivités locales, les citoyens et les partenaires. Créer un Fonds National d’Infrastructures et de Numérisation, alimenté par les redevances minières et les partenariats internationaux. Lancer un programme pilote dans 5 régions pour tester l’intégration des routes, postes et télécoms dans une logique territoriale.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

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Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

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Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

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Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

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Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Inclusion numérique & E-Gouvernance

Créer un Guichet Unique e-État Financement : économies administratives + BM e-Gov. 31. Connecter 1 000 écoles & centres solaires Financement : UE Global Gateway + KfW. Numérique 28. Former 50 000 jeunes au numérique Financement : fonds Emploi + GIZ/AFD/UE. 29. Déployer le backbone numérique souverain Financement : télécoms + BAD/BM

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Inclusion numérique & E-Gouvernance

Priorité 6 : Innovation, nouvelles technologies et durabilité • Développer les TIC et digitaliser les chaînes de production. • Créer de nouvelles filières et métiers liés au numérique. • Favoriser une croissance partagée et l'accès équitable aux opportunités économiques.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Gouvernance Minière

Nos solutions concrètes 1.Mettre en place une politique minière nationale cohérente et transparente • Élaborer une Stratégie nationale de valorisation minière intégrée aux plans de développement (PTI, BSI), avec des objectifs clairs de transformation locale, de contenu national et de redistribution. • Créer une Autorité indépendante de régulation minière, chargée de la transparence, du suivi des contrats et de la gouvernance environnementale. 2. Réviser et renégocier les contrats miniers • Publier tous les contrats dans le cadre de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) . • Associer les collectivités locales, les syndicats et les organisations de la société civile aux négociations. • Intégrer des clauses de contenu local, de redevabilité sociale et de protection environnementale. 3. Élaborer un nouveau Code minier attractif et équitable • Simplifier les procédures d’octroi de permis tout en renforçant les exigences de durabilité. • Intégrer les normes FPIC (consentement libre, préalable et éclairé) pour les communautés affectées. • Créer un cadre fiscal progressif, avec des incitations pour la transformation locale et des pénalités pour l’exportation brute 4. Développer la transformation locale des minerais • Soutenir la construction de raffineries d’alumine, de fonderies de fer et d’unités de transformation de l’or artisanal. • Créer des zones économiques minières intégrées, avec infrastructures, énergie et services logistiques. • Former les jeunes aux métiers miniers via des instituts techniques spécialisés, 5. Renforcer les retombées locales et agricoles • Créer un Fonds de développement local minier, alimenté par les redevances, pour financer l’agriculture, la santé, l’éducation et les infrastructures rurales. • Subventionner les paysans dans les zones minières pour compenser les impacts environnementaux et sociaux. • Soutenir les communes dans la planification et la gestion des ressources minières via des agences • Lancer un audit national des contrats miniers existants, avec publication des résultats. • Adopter une loi sur le contenu local et la transformation minière, avec des quotas obligatoires. • Créer un observatoire citoyen du secteur minier, pour le suivi des impacts et la transparence. • Organiser un forum national annuel sur la gouvernance minière, réunissant tous les acteurs.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

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Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

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Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

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Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Gouvernance Minière

Promouvoir la transparence et la redevabilité dans la gestion minière ; •Assurer la réhabilitation écologique des sites miniers après exploitation ; •Assurer la transformation locale des ressources minières ; Créer une agence nationale de prospection et de cartographie des ressources minières ; •Adapter le financement et les moyens juridiques et fiscaux aux nouvelles ambitions du secteur.

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Gouvernance Minière

10. Mener un audit complet et transparent des contrats miniers et renégocier ceux qui ne garantissent pas une juste part à l’État et aux populations. 11. Élaborer une vision stratégique qui permet au pays de bénéficier davantage de ses immenses ressources naturelles et faire des ressources minières un catalyseur pour la diversification économique et le développement national

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Gouvernance Minière

Depuis le 5 septembre 2021, la République de Guinée a franchi des étapes importantes dans son parcours pour le développement. Toutefois, il reste essentiel de transformer les succès enregistrés en avancées tangibles et durables pour les Guinéennes et Guinéens. Dans cet objectif, le volet de transformation économique du projet de société GMD aura pour pilier principal le Programme de Développement Socio-Économique Durable et Responsable dénommé Simandou 2040. Il est porteur d’une vision ambitieuse et inclusive pour bâtir une Guinée forte, souveraine et prospère. Construire deux raffineries d'alumine et de deux raffineries d'or. • Mettre en place un fonds souverain pour une gestion responsable des rentes minières.Le projet de transformation économique vise les objectifs suivants : • Garantir la souveraineté économique, tout en positionnant la Guinée comme une économie de ressources et une destination attractive ;Mettre en place une plateforme de gestion des rentes minières, à travers un Fonds souverain d’investissement, pour stimuler le développement durable ;2. Programme structurant Simandou et intégration mines–développement • Le volet de transformation économique du projet de société GMD aura pour pilier principal le Programme de Développement Socio-Économique Durable et Responsable dénommé Simandou 2040. Il est porteur d’une vision ambitieuse et inclusive pour bâtir une Guinée forte, souveraine et prospère. • Le projet intégré Mines/Infrastructures Simandou

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Elevage & Pêche

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Gouvernance et modernisation

Les solutions du BL : 1. Lutter contre la pêche illicite Le secteur de l’élevage sera soutenu pour permettre à nos éleveurs de valoriser et de vivre avec le fruit de leur travail. Mettre en place un système de traçabilité numérique des captures et des embarcations. Créer une brigade maritime de surveillance dotée de drones et de radars côtiers. Renégocier tous les contrats de pêche étrangers pour garantir la souveraineté halieutique et la juste rémunération des ressources. 2. Développer la pêche artisanale et industrielle responsable Subventionner les coopératives de pêcheurs pour l’achat de moteurs, filets écologiques et équipements de sécurité. Créer des zones de pêche protégées pour préserver les frayères et la biodiversité marine. Mettre en place des centres de transformation et de conservation des produits halieutiques dans les ports régionaux. 3. Renforcer la gouvernance et la transparence  Créer une Autorité nationale de régulation de la pêche, indépendante et dotée de pouvoirs de contrôle.  Publier annuellement un rapport sur l’état des ressources halieutiques, accessible aux citoyens et aux partenaires. 4. Moderniser l’élevage traditionnel  Déployer des pôles de croissance pastorale avec des vétérinaires, des techniciens et des infrastructures (abris, points d’eau, marchés).  Promouvoir l’élevage intégré (agro-pastoral) pour valoriser les déchets agricoles et améliorer la fertilité des sols. 5. Améliorer la productivité et le bien-être animal Mettre en œuvre des programmes de sélection génétique durable pour améliorer les races locales. Former les éleveurs aux bonnes pratiques d’alimentation, de reproduction et de soins vétérinaires. Créer un label “Élevage responsable de Guinée” pour valoriser les produits issus de pratiques durables. 6. Structurer les filières et sécuriser les revenus Mettre en place des unités de transformation de viande et de lait dans les zones rurales. Créer un fonds de garantie pour les éleveurs, afin de faciliter l’accès au crédit et à l’assurance. L’élevage et la pêche doivent être intégrés dans la Politique Agricole Innovante (PAI) du BL comme des piliers de croissance locale. Les partenariats public-privé seront encouragés pour développer des infrastructures, des services vétérinaires et des chaînes de valeur agroalimentaires. Adopter une loi cadre sur l’élevage et la pêche durable, avec des dispositions sur la gouvernance, la fiscalité, la protection des ressources et le soutien aux producteurs. Créer une Agence nationale de développement de l’élevage et de la pêche, avec des antennes régionales. Lancer un programme pilote dans trois régions (Basse Guinée, Haute Guinée, Guinée Forestière) pour tester les modèles intégrés de développement pastoral et halieutique.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

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Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

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Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

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Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Politique étrangère

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Diplomatie de développement

Une diplomatie guinéenne responsable et agissante au niveau africain et international Nous allons construire une diplomation qui doit être complétive pour tirer profit de mondialisation en établissant des partenariats partout dans le monde là où cela sera bénéfique et opportun pour la Guinée. Grâce à une diplomatie de développement.Le programme du Bloc Libéral visera à renforcer la coopération internationale, à rechercher sur tous les continents des partenariats économiques, commerciaux pour être certain que dans chaque secteur d’activité, le pays bénéficie des meilleures propositions, des meilleurs investissements, des meilleurs transferts de savoirs, des meilleures opportunités pour se développer. Sous notre présidence, nos compatriotes seront plus présents dans les organismes internationaux et notre jeunesse sera formée pour être compétente à l’échelle internationale afin de faire entendre la voix de notre pays et de valoriser sa contribution au progrès universel. Des programmes internationaux d’échanges intellectuels et culturels seront mis en place pour favoriser l’émergence d’élites préparées aux responsabilités nationales et internationales. Sous notre présidence, ce leadership fera jouer à notre pays de façon ambitieuse et démultipliée un rôle actif dans la communauté internationale, dans les organismes internationaux, dans tous les programmes d’échanges internationaux. Ainsi, le BL va : Améliorer la gestion de la carrière de nos diplomates ; Elaborer une politique de gestion des rapatriements des ambassadeurs en fin de mission ; Rattraper les paiements des arriérés de salaires ; Assister les diplomates dans le règlement des litiges liés aux conséquences de non-paiement des salaires ; Intégrer les assurances maladies aux diplomates et à leurs familles ; Etablir un vrai contrat de maintenance de nos Ambassades ; Informatiser l'ensemble du système d'identification, de délivrance des visas et d'assistance administrative aux Guinéens de la diaspora. Le BL engage une politique étrangère lisible, garante des intérêts de la Guinée et de ses partenaires extérieurs.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

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Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

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Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

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Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

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Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

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Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

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Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Tourisme & Hôtellerie

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Développement du touristique

Mettre en valeur l’empire touristique et de l’artisanat au profit de la Guinée . La Guinée possède un patrimoine touristique formidable mais mal entretenu. Il incombe à l’Etat et aux acteurs privés de faire de la Guinée une destination touristique enviée. Pour cela, il faut : Coordonner les différentes interventions de l’Etat et des collectivités territoriales en matière de tourisme. Valoriser, mieux structurer et inscrire les formations supérieures aux métiers du tourisme dans le système de l’enseignement supérieur. Soutenir les acteurs du tourisme à vocation sociale en ouvrant le bénéfice aux agriculteurs et aux travailleurs indépendants. Actualiser les normes de classement hôtelier. Aider les communes touristiques à l’accueil des personnes handicapées. Développer une politique ambitieuse en faveur du tourisme en milieu rural, associant l’Etat aux collectivités locales et investisseurs privés. Renforcer la promotion de la Guinée au plan international.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

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Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Développement du touristique

Développer l'offre touristique et les infrastructures hôtelières pour faire de la Guinée une destination prisée.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Transports & Travaux publics

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Infrastructures routières

Reconstruire nos infrastructures routières et bâtir une gouvernance inclusive du secteur routier et des postes et télécommunication Propositions concrètes a) Plan national de réhabilitation et de construction b) Gouvernance locale des routes  Lancer un Programme Prioritaire de Désenclavement avec des cibles annuelles : 1 000 km de routes rurales, 500 km de routes nationales, 200 km de voiries urbaines.  Prioriser les axes stratégiques : Mamou-Faranah, Mamou-Labé, Kankan-Kissidougou, Boké-Gaoual.  Créer des Agences Communales de Gestion Routière avec des outils comme SmartAsset pour la maintenance préventive et la transparence budgétaire.  Former les élus et techniciens locaux à la gestion stratégique des infrastructures.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Infrastructures routières

Infrastructures 22. Mettre en œuvre le schéma directeur des infrastructures intégrant routes, rail, aéroports et voiries urbaines, et le Plan Mobilité Conakry 2030. Financement : PPP + BM. 23. Créer un Fonds d’Investissement Ferroviaire. Financement : fonds ferroviaire (1 000 GNF/litre) + PPP + BM. 24. Consacrer 5 % du PIB aux infrastructures routières, construire ou réhabiliter au moins 800 km de routes par an 25. Réhabiliter 5 000 km de routes Financement : FER + 1 % rentes minières

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Infrastructures routières

Priorité 2: Infrastructures, transports et connectivité Construire plus de 1 500 km de routes et bitumer des voiries urbaines jamais bitumèes. • Réaliser l'autoroute Kagbelén—Kouriah et des routes 2x2 voies a Kankan et à Conakry. • Moderniser les ports, les aéroports-régionaux et L'extension de l'Aéroport International Ahmed Sékou Toure de Conakry. • Développer les transports publics et le numérique pour une Guinée connectée et compétitive. •La construction d’infrastructures routières (plus de 1500 km de routes) •Le projet de construction et de bitumage de voiries de 214 Km à Conakry •La construction de 12 Km de route 2X2 voies dans la ville de Kankan •Les travaux de construction et de bitumage de voiries urbaines dans les villes jamais bitumées •Le projet de construction et de bitumage de la route Labé-Mali (107 Km) •Les travaux de construction et bitumage de 12,33 km de voiries urbaines dans la ville de Kérouané. •Les travaux de construction et de réhabilitation de 15 km de voiries dans la commune de Dubréka •La construction des aéroports régionaux

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

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Actions sociales

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Protection sociale

Construire un système de sécurité sociale performant Le BL va répondre aux exigences des besoins familiaux de base : prise en charge de la classe moyenne et des couches socialement défavorisées par la mise en place d’un socle de protection inclusif. Le souci principal du BL étant d'offrir un cadre de vie adapté aux enfants. Ainsi, des décisions politiques relatives aux besoins des familles permettront de protéger et d’assurer le bien-être de l’enfant.Le renforcement du pouvoir d’action des femmes étant un préalable essentiel à la sécurité publique, sociale, économique et culturelle d’un pays, le BL envisage améliorer le statut de la femme par : La réduction sensible et, à terme, l’atteinte à 100% de son taux d’alphabétisation; L’amélioration de sa santé, en particulier de celle reproductive; Le renforcement de l’équité homme/femme ; La lutte contre la pauvreté de la femme ; La défense des droits de la femme ; La mise en place des mesures pour prévenir et éliminer les discriminations à l’égard des femmes ; La préservation de la quiétude du cadre familial par la sauvegarde de l’équilibre des relations sociales qui y prévalent. Les Guinéens ne ressentent pas encore au quotidien les fruits du développement économique de leur pays. Les infrastructures sociales restent très insuffisantes (hôpitaux, logement, maisons d’accueil, etc.) Plus de la moitié des Guinéens vivent en dessous du seuil de pauvreté et les écarts de revenus demeurent importants. Ceux qui possèdent beaucoup côtoient ceux qui n'ont presque rien. Dans ces conditions, certains compatriotes se sentent marginalisés ! Ces disparités accentuent la fracture sociale, remettant en cause notre cohésion nationale. Parallèlement, on déplore une montée sensible du tribalisme dans la vie sociopolitique. Or, le tribalisme, manifestation régressive et facteur d'exclusion, est en partie une manipulation politicienne ! Il nous faut donc réduire les inégalités, combattre l’exclusion sous toutes ses formes et promouvoir la solidarité nationale dont le fondement est notre « Vouloir-vivre collectif ». La nation a le devoir moral de venir en aide aux couches de la population les plus vulnérables. Grâce à notre programme de société, nous aiderons des Guinéens à sortir de la pauvreté en engageant une véritable redistribution de la richesse nationale qui, jusqu’ici, est dans les mains des familles et des groupes mafieux qui dirigent notre pays. Nous lancerons diverses reformes relatives aux allocations allant aux enfants, aux familles en détresse qu’aux personnes qui ont le plus besoin. Nous allons mettre en place un filet de sécurité social pour soutenir nos populations surtout celles vivant en milieu rural. Nous aiderons des centaines de milliers d’aînés à sortir de la pauvreté en augmentant de dix pour cent le supplément de revenu garanti pour les eux. Cela donnera à des millions de personnes les plus vulnérables – qui sont souvent des femmes – presque vivant avec moins de 8000 GNF par jour.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Protection sociale

Lutter contre le mariage précoce et le travail des enfants ; •Lutter contre le mariage précoce et le travail des enfants ; •Accroitre le taux de l’entrepreneuriat féminin formel ; •Promouvoir la rétention scolaire des filles au-delà du secondaire ; • Assurer la représentativité féminine d’au moins 40 % dans les instances de décision ; •Mettre en place un système national de protection de l’enfance, fonctionnel et accessible ; •Mettre en place un système national de protection de l’enfance, fonctionnel et accessible ;

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Protection sociale

Créer un fonds de Protection sociale pour le secteur informel Financement : contribution solidaire + BIT

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Protection sociale

Volet social: promouvoir le vivre-ensemble et renforcer la cohésion nationale. il veut que les jeunes et les femmes aient enfin leur place. Il donne de l'espoir a une génération qui avait été oubliée Beaucoup de jeunes se sentent enfin considérés Priorité 7: Protection sociale • Mettre en place un système de sécurité sociale inclusive et viable. • Créer un mécanisme national d'assistance aux groupes vulnérables. • Développer un programme national cle logements sociaux. • Instituer un mécanisme de gestion des catastrophes naturelles. • Couvrir les acteurs du secteur non structuré pour garantir la dignité et la sécurité de tous Priorité 5: Emploi, travail et productivité • Promouvoir l'excellence et corriger les dësëquilibres socio-économiques. • Instaurer des quotas dynamiques pour les groupes vulnérables et favoriser l'inclusion.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Emploi et employabilité

La problématique de la promotion de la jeunesse, quant à elle, est abordée au triple plan de £l’éducation sociale, de la promotion de l’emploi, et de la participation des jeunes à la vie publique. Dans ce cadre, le BL s’emploiera à : Assurer l’épanouissement socioculturel de la jeunesse par la promotion d’activités de formation conséquentes ; Réduire les risques d’inadaptation sociale de la jeunesse ; Contribuer à réduire le chômage chez les jeunes ; Renforcer la participation des jeunes à la vie publique de leur pays ; Offrir aux jeunes un cadre de vie sécurisé et les préparer à leur fonction sociale future ; Contribuer à une meilleure prise en charge des questions de jeunesse ; Réduire les disparités entre filles et garçons ; Assurer un encadrement extrascolaire approprié des jeunes ; Faire de la jeunesse une force de développement socio-économique du pays.

Sports, arts et culture

Le projet du Bloc Libéral veillera à faire la promotion de nos artistes en les exposant dans toutes les grandes foires et manifestations artistiques internationales. Notre pays devra en organiser également pour mieux faire connaitre nos artistes et leur permettre d’avoir des contacts à l’extérieur. Le Bloc Libéral encouragera les artistes de tous les domaines à s’organiser pour mieux défendre leurs intérêts et prêtera une oreille attentive à leurs revendications et propositions en vue d’assainir le milieu de l’art et encourager la production artistique et l’éclosion des talents. Toutes les barrières à la production qui relèveront de l’Etat seront détruites. Le Bloc Libéral considère l’Art comme partie intégrante de la vie nationale et aussi comme un processus de production de richesses pour les auteurs et élément de rayonnement pour le pays. Le Bloc Libéral fera en sorte que la culture ne soit plus l’enfant pauvre du gouvernement car, le parti respectueux de l’art, l’aime, vénère les producteurs d’idées, de savoirs, de rêves, de livres. Il considère qu’aucune civilisation ne peut se faire respecter et aimer si elle est seulement matérielle : les œuvres de l’esprit donnent aux choses leur beauté et aux civilisations leur sens et leur prestige. Le Bloc Libéral sera le premier défenseur du monde de la culture et des arts. Il en fera la promotion dans le pays et à l’étranger. Les artistes trouveront en lui un allié, un ami, un compagnon qui les comprendra, les fréquentera et les protégera. Le Bloc Libéral entend donner au monde de la culture son dynamisme et son rayonnement en mobilisant les artistes eux-mêmes autour de cette noble cause. Car la culture est véritablement un instrument de rayonnement et de prestige pour le pays. Elle est une ambassadrice efficace qui de surcroit rapportera gros sur le plan économique en faisant de notre pays une destination touristique attractive, ce qui ne peut que marquer positivement tous les autres investisseurs dans d’autres domaines. Nous avons plus que jamais besoin des artistes pour construire les ponts de la réconciliation. Leur créativité, plus que tout autre, nous y aidera de façon efficace. C’est pourquoi, le gouvernement du Bloc Libéral financera et encouragera toutes les productions (musique, théâtre, cinéma, peintures, dessinateurs, calligraphes, etc.) qui magnifieront la beauté, l’imagination, la créativité, la tolérance, la réconciliation nationale et favoriseront l’émergence de cette Guinée multiculturelle, multiethnique, plurielle, unie dans sa diversité, respectueuse des uns et des autres. Dans cette œuvre de reconstruction de notre nation mise en miette par nos politiciens tribalistes, la culture, le sport et l’art devront jouer un rôle essentiel pour remettre la Guinée sur les rails du développement et de la démocratie. La problématique de la promotion de la jeunesse, quant à elle, est abordée au triple plan de l’éducation sociale, de la promotion de l’emploi, et de la participation des jeunes à la vie publique. Dans ce cadre, le BL s’emploiera à : Assurer l’épanouissement socioculturel de la jeunesse par la promotion d’activités de formation conséquentes ; Réduire les risques d’inadaptation sociale de la jeunesse ; Contribuer à réduire le chômage chez les jeunes ; Renforcer la participation des jeunes à la vie publique de leur pays ; Offrir aux jeunes un cadre de vie sécurisé et les préparer à leur fonction sociale future ; Contribuer à une meilleure prise en charge des questions de jeunesse ; Réduire les disparités entre filles et garçons ; Assurer un encadrement extrascolaire approprié des jeunes ; Faire de la jeunesse une force de développement socio-économique du pays.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Sports, arts et culture

Emploi & Égalité 18. Créer 300 000 emplois jeunes par apprentissage Financement : fonds Emploi (5 % rentes minières) + BIT/BM. 19. Lancer Fonds de Garantie Entrepreneuriale Financement : 0,3 % du PIB minier. 20. Moderniser 50 000 ateliers artisanaux Financement : fonds économie locale + FIDA. 21. Créer un fonds de Protection sociale pour le secteur informel Financement : contribution solidaire + BIT

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Sports, arts et culture

Priorité 5 : La culture comme levier de développement • Valoriser le patrimoine culturel et promouvoir les industries créatives. • Professionnaliser les acteurs culturels et renforcer la coopération culturelle nationale et internationale. • Faire de la culture un moteur économique et un vecteur de cohésion sociale. Priorité 6: Femmes et jeunesse, pilliers de la transformation • Promouvoir l’autonomisation, insertion socioprofessionnelle et l’entreprenariat. • Garantir la parité et l’inclusion dans les politiques publiques. • Encourager le leadership, la participation citoyenne et politique des jeunes et des femmes • Créer des emplois cle qualité pour les jeunes et les femmes.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Accès à l'eau et gestion durable des ressources en eau

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Eau potable

La Guinée, « Rivière du Sud» ou «Château d’eau de l’Afrique de l’Ouest», manque d’eau potable. Pour mettre fin à cette situation, le BL favorisera un partenariat public-privé qui augmentera l'accès à l'eau potable et améliorera sa distribution ; accroîtra la création des nouveaux circuits de distribution de l'eau potable à travers tout le territoire national car le pays est riche de plusieurs sources naturelles d'eau potable

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Eau potable

Dans le projet de société du candidat Mamadi DOUMBOUYA, l’accès à l’eau potable,l’assainissement et l’aménagement urbain sont des axes essentiels pour améliorer durablement la vie des Guinéens. Le projet s’engage à garantir l’eau pour tous, particulièrement dans les zones défavorisées, face aux pénuries et à la mauvaise qualité qui affectent la santé, la sécurité alimentaire et la dignité. • Fournir l'eau potable pour tous et moderniser les infrastructures d'assainissement. • Améliorer l'hygiène publique et créer des villes modernes et durables. • Protéger les ressources naturelles pour assurer la santé et la dignité des populations. • Augmenter la production et l'accès a l’électricité, avec des projets hydroélectriques et solaires.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Commerce & Industrie

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Aucune position connue

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Commerce & Industrie

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Aucune position connue

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Industries locales et PME

Soutenir les PME, les startups et l’entrepreneuriat local ; •Promouvoir l’industrie locale de transformation des matières premières ; •Créer les pôles d’attraction économiques régionales pour un développement équilibré du territoire ;

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Industries locales et PME

PME, diaspora et innovation 15. Soutenir la montée en puissance des industries locales : ciment, matériaux de construction, textile, pharmaceutique, transformation agricole. Financement : PPP + taxe mines + fin des exonerations inefficaces. 16. Créer un fonds de Garantie pour faciliter l’accès au crédit des PME et startups. Financement : réallocation budgétaire + taxe sur rente télécom/mines. 17. Mettre en place un fonds « Diaspora Invest » cofinancé par l’État et les investisseurs guinéens à l’étranger. Financement : apport État via économies budgétaires + diaspora (obligations, equity)

Industries locales et PME

PME, diaspora et innovation 15. Soutenir la montée en puissance des industries locales : ciment, matériaux de construction, textile, pharmaceutique, transformation agricole. Financement : PPP + taxe mines + fin des exonerations inefficaces. 16. Créer un fonds de Garantie pour faciliter l’accès au crédit des PME et startups. Financement : réallocation budgétaire + taxe sur rente télécom/mines. 17. Mettre en place un fonds « Diaspora Invest » cofinancé par l’État et les investisseurs guinéens à l’étranger. Financement : apport État via économies budgétaires + diaspora (obligations, equity)

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Industries locales et PME

Soutenir le commerce local et extérieur pour conquérir de nouveaux marchés

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Civisme & droits humains

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Institutions des droits humains

La mise en place d’une Commission nationale indépendante des droits de l’homme La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) mise en place sera une institution nationale de promotion et de protection des droits de l’Homme en lieu et place de l’actuel INDH. Elle assurera, auprès du Gouvernement, un rôle de conseil et de proposition dans le domaine des droits de l’homme, du droit et de l’action humanitaire et du respect des garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques. Pour ce faire, en 2010 et dans cette perspective il était plus judicieux d’élargir la base juridique de l’Observatoire national de la démocratie et des droits de l’homme, crée le 12 juin 2008 par arrêté N° 2405 du Premier ministre. Mise en place du service civil militaire sera obligatoire dès l’âge de 18 ans Le service civique obligatoire aura pour objectif d’apporter un concours personnel et temporaire à la communauté nationale dans le cadre d’une mission d’intérêt général et/ou de développer la solidarité et le sentiment d’appartenance à la Nation. Il peut s’accomplir dans l’un des trois domaines suivants ; • la défense, la sécurité et la prévention, avec des missions de protection des personnes, des biens et de l’environnement ; • la cohésion sociale et solidarité par des actions d’intérêt général ; • l’éducation à la démocratie et aux droits humains. Ce service civique obligatoire devra être ouvert à tous les jeunes gens, garçons et filles, entre 18 et 25 ans, afin de leur transmettre les valeurs républicaines. Chacun d’entre eux aura droit pendant son service civique à une formation à la citoyenneté, à un accompagnement personnalisé et se verra délivrer à l’issue un brevet du service civique. Le service civique obligatoire devra se dérouler sur une période de six mois. L’objectif de cette formation est de sensibiliser les jeunes sur tel ou tel problème de notre société sur : • Le devoir de mémoire ; • les devoirs et les droits du citoyen ; • les risques liés aux comportements dangereux : drogue, alcool, tabac ; • la conduite sur la route ; • le secourisme (avec l’acquisition d’un brevet national de secourisme) ; • une information sur le bénévolat et les associations.

Service civique & citoyenneté

Mise en place du service civil militaire sera obligatoire dès l’âge de 18 ans Le service civique obligatoire aura pour objectif d’apporter un concours personnel et temporaire à la communauté nationale dans le cadre d’une mission d’intérêt général et/ou de développer la solidarité et le sentiment d’appartenance à la Nation. Il peut s’accomplir dans l’un des trois domaines suivants ; • la défense, la sécurité et la prévention, avec des missions de protection des personnes, des biens et de l’environnement ; • la cohésion sociale et solidarité par des actions d’intérêt général ; • l’éducation à la démocratie et aux droits humains. Ce service civique obligatoire devra être ouvert à tous les jeunes gens, garçons et filles, entre 18 et 25 ans, afin de leur transmettre les valeurs républicaines. Chacun d’entre eux aura droit pendant son service civique à une formation à la citoyenneté, à un accompagnement personnalisé et se verra délivrer à l’issue un brevet du service civique. Le service civique obligatoire devra se dérouler sur une période de six mois. L’objectif de cette formation est de sensibiliser les jeunes sur tel ou tel problème de notre société sur : • Le devoir de mémoire ; • les devoirs et les droits du citoyen ; • les risques liés aux comportements dangereux : drogue, alcool, tabac ; • la conduite sur la route ; • le secourisme (avec l’acquisition d’un brevet national de secourisme) ; • une information sur le bénévolat et les associations.

droits de l'homme

La mise en place d’une Commission nationale indépendante des droits de l’homme La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) mise en place sera une institution nationale de promotion et de protection des droits de l’Homme en lieu et place de l’actuel INDH. Elle assurera, auprès du Gouvernement, un rôle de conseil et de proposition dans le domaine des droits de l’homme, du droit et de l’action humanitaire et du respect des garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques. Pour ce faire, en 2010 et dans cette perspective il était plus judicieux d’élargir la base juridique de l’Observatoire national de la démocratie et des droits de l’homme, crée le 12 juin 2008 par arrêté N° 2405 du Premier ministre.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Service civique & citoyenneté

Le cœur du développement guinéen réside dans ses citoyens. Le projet social de Mamadi DOUMBOUYA repose sur une conviction forte : l'éducation, la sante et la protection sociale sont les piliers d'une Guinée prospère. Chaque enfant, chaque jeune et chaque femme doit pouvoir accéder aux opportunités et contribuer activement à l'essor du pays. Paix, cohésion sociale et citoyenneté responsable • Construire une société de paix où la diversité est un atout. • Encourager le dialogue, la tolérance et le respect des droits fondamentaux. • Promouvoir une citoyenneté active, responsable et engagèe. • Développer l'éducation civique et des programmes de sensibilisation a la paix. L'inscription claire des droits et devoirs des citoyennes et citoyens, y compris la protection des libertés essentielles, la promotion de l'égalité, la lutte contre les discriminations et l'engagement pour la justice sociale . La participation citoyenne a tous les échelons de la gouvernance et la reconnaissance du rôle des collectivites locales dans la gestion publique

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Défense et securité

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Réorganisation des forces de défense et de securité

Redéfinir des missions des forces de défense et de sécurité Le Bloc Libéral estime que la sécurité est un enjeu essentiel, fondamental pour unir le pays, pour rompre l’isolement économique de la Guinée et attirer de nouveau les entreprises qui ont délocalisé ailleurs dans des pays africains, laissant au chômage des milliers de nos compatriotes.Le BL envisage de restructurer les forces de défenses et de sécurité en envisageant de: Définir une nouvelle architecture de défense nationale C’est au regard de la situation actuelle des forces de défense et de sécurité qu’il est temps de dessiner de nouvelles perspectives de défense nationale pour la Guinée de demain. Le prochain pouvoir en Guinée devra envisager une refonte complète du dispositif de défense par la réorganisation des structures des forces armées. Cette réorganisation de l’armée guinéenne s’imposera pour permettre à cette dernière de remplir ses missions traditionnelles de défense nationale. En effet dans sa phase de reconstruction politique, la Guinée ne pourra point faire l’économie sur le nécessaire réorganisation de son outil de défense. Le recrutement au sein de l’armée devra être anonyme et axé sur des critères de diplômes, de qualifications professionnelles, permettre le pluralisme de l’armée dans toutes ses composantes afin de refléter de manière fiable les diverses couches de la société guinéenne. Les missions de l’armée guinéenne devront être modifiées dans le sens d’une sécurité effective des populations au sein d’un Etat respectueux de la démocratie et des droits de l’homme. Cette évolution des missions de l’armée se fera dans un cadre où les militaires guinéens auront fait un serment de fidélité non pas à un homme ou à un clan mais aux Institutions et à la Constitution. Une véritable reconversion des mentalités des militaires guinéens orientée vers la défense de l’intérêt général et du bien collectif sera opéré. La nouvelle armée devra être réorganisée et transformée en un grand service public de sécurité intérieure regroupant la gendarmerie nationale, la police nationale et la protection civile. La défense extérieure s’organisant autour d’unités militaires professionnalisées (UMP/Terre, Air et Mer) et dans le cadre sous régional à travers d’unités militaires professionnalisées prés positionnés. La nouvelle configuration de l’armée guinéenne A côté du grand service public de sécurité intérieure composé de la gendarmerie nationale, de la police nationale et la protection civile relavant du seul ministère de l’intérieur et de la sécurité, créer une vraie armée nationale composée d’unités militaires professionnalisées (IUMP) pour chacune des composantes : TERRE, MER et AIR. L’armée de terre professionnelle Les missions de l’armée de terre recouvrent les domaines suivants : la défense du territoire et la défense de points sensibles et, exceptionnellement les opérations de maintien de l’ordre, la participation à des opérations de maintien de la paix. Pour assurer ces missions l’armée de terre dispose d’unités militaires terrestres professionnalisées basées : Deux (2) UMTP à SIGUIRI et KOUNDARA pour se familiariser au combat en zone sahélienne Deux (2) UMTP à NZEREKORE et GUEGUEDOU pour se familiariser au combat en zone humide Deux (2) UMTP à DALABA et MALI pour se familiariser au combat en zone montagneuse. L’organisation de l’armée de terrestre sera subdivisée en trois régions militaires terrestre, à savoir : 1ère région militaire terrestre, avec son État-major situé à Labé 2ème région militaire terrestre, avec son État-major à Kankan ; 3ème région militaire terrestre, avec son État-major à N’Nzérékoré La marine nationale professionnelle L’armée de mer aura pour mission d’assurer en permanence la surveillance des eaux territoriales et de la zone économique exclusive de la République de Guinée ,de participer efficacement à la défense des côtes guinéennes en constituant un barrage à toute force d’agression qui tenterait de s’introduire dans le pays par ses frontières maritimes, d’assurer dans les eaux territoriales guinéennes la liberté du trafic maritime, de participer à la répression de la contrebande maritime, de participer à la police maritime et à la réglementation de la navigation maritime, de participer au transport maritime. L’armée de mer est composée d’unités Maritimes Professionnalisées basées à : 1 UMP à Kassa 1 UMP à Kamsar 1 UMP à Benty 1 UMP à Boffa Pour mener à bien ces missions, le littoral sera découpé en trois Régions Opérationnelles Maritimes (ROM) : la ROM du Centre dont le siège est situé à Conakry la ROM du Nord à Kamsar. la ROM Sud à Guéckédou dans le bec du perroquet pour contrôler les frontières sud du pays L’Armée de l’air professionnelle L’armée de l’air aura pour mission de garantir la sécurité de l’espace aérien, d’assurer la couverture et l’appui des troupes au sol, de participer à la défense opérationnelle du territoire, à la défense des pays avec lesquels la Guinée a des accords et obligations de défense, de participer à de nombreuses missions de service aux plans national et international. Pour accomplir ces missions, l’armée de l’air disposera de drones et d’ULM outre la sécurité aérienne la protection de l’environnement, la surveillance du couvert végétal pour prévenir et lutter contre les dégradations de l’environnement (feux de brousse, impact de l’exploitation minière sur l’environnement). Elle sera composée d’unités aériennes professionnalisées basée à  1 UAP à CONAKRY 1 UAP à SIGUIRI 1 UAP à LABE 1 UAP à FARANAH 1 UAP à NZEREKORE L’armée de l’air sera structurée en trois régions militaire aérienne correspondant aux trois villes aériennes proches des frontières terrestres, lesquelles seront constituées par trois grands commandements qui auront leurs états-majors à Kindia, Labé, Faranah. La participation de l’armée à la Politique de développement L’armée guinéenne devra aussi développer des capacités duales. En cela le concept de capacités duales désigne l’action concomitante du militaire accomplissant des missions de guerre, de sécurité et de soutien aux populations. A ces missions, s’ajoutent l’implication du militaire guinéen dans le éveloppement du pays L’action duale du militaire guinéen doit donc suivre une tendance double marquée par une extension de la gamme des missions à accomplir, mission de développement et un retour au cœur de métier : défendre le territoire.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Eau et Electricité

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Gouvernance locale et décentralisation énergétique

Nos Propositions concrètes du Bloc Libéral 1. Décentraliser la gouvernance énergétique Créer des Agences Communales de l’Énergie chargées de planifier, gérer et suivre les projets énergétiques locaux, en lien avec les collectivités Intégrer les projets énergétiques dans les Plans Communaux de Développement pour assurer leur cohérence avec les besoins locaux. Former les élus locaux à la planification énergétique participative, en s’inspirant des modèles de gouvernance inclusive promus par l’UNICEF et la BAD. 2. Diversifier les sources d’énergie Déployer des microcentrales hydroélectriques dans les zones montagneuses et rurales. Installer des kits solaires domestiques et communautaires dans les zones non couvertes par le réseau national. Encourager les projets éoliens côtiers et les unités de biogaz dans les zones agricoles. 3. Renforcer la transparence et la redevabilité Mettre en place un Observatoire Citoyen de l’Énergie, chargé de suivre les performances, les budgets et les impacts des projets énergétiques. Publier annuellement un rapport de gouvernance énergétique locale, avec des indicateurs de durabilité, d’inclusion et d’efficacité. 4. Favoriser les partenariats public-privé (PPP) Créer un cadre juridique incitatif pour les PPP dans l’énergie, avec des garanties pour les investisseurs et des obligations de contenu local. Lancer un fonds d’investissement vert pour cofinancer les projets innovants portés par les communes et les entreprises locales. 5. Réduire la dépendance au charbon de bois Subventionner les fours améliorés et les alternatives au charbon (gaz domestique, briquettes écologiques). Mettre en œuvre une stratégie nationale de reboisement communautaire, en lien avec les projets d’atténuation climatique Adopter une loi sur la gouvernance énergétique locale, définissant les rôles des communes, des citoyens et des partenaires. Créer une plateforme numérique de suivi des projets énergétiques, accessible aux citoyens et aux élus. Lancer un programme pilote dans 5 communes rurales, combinant microprojets solaires, gouvernance participative et formation locale. Organiser un Forum National de l’Énergie Décentralisée, réunissant les acteurs publics, privés et communautaires.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Gouvernance locale et décentralisation énergétique

Électrifier 10 000 localités Financement : FSE + green bonds énergie

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Santé

Propositions pour améliorer l'accès aux soins et renforcer le système de santé

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Accès aux soins de santé primaires

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET L’ACCÈS AUX MEILLEURS SOINS DE SANTÉ Comme pour l’éducation, investir dans la santé peut permettre d’améliorer la productivité future des individus. Il est inconcevable de constater que dans notre pays, moins de 25% des enfants sont compléments vaccinés et plus de 30% souffrent de la malnutrition chronique.C’est pourquoi le BL envisage de :. Renforcer la gouvernance du systèmede santé Soutenir la mise en œuvre le PSNSC-2023-2027_Guinee, qui propose une stratégie 3. Mettre en place une couverture maladie universelle (CMU)  Intégrer la stratégie Vaccination Plus dans le cadre de la CMU, en mobilisant des financements durables et en renforçant les capacités locales.  S’appuyer sur les recommandations de l’OMS pour planifier la santé urbaine de manière stratégique et inclusive. 4. Renforcer le secteur privé et les mécanismes de contrôle qualité  Créer une agence nationale de régulation sanitaire pour certifier les établissements privés et contrôler la qualité des prestations.  Encourager les partenariats public-privé pour l’innovation en santé, notamment dans la télémédecine et les services mobiles.  Adopter une loi sur la santé communautaire pour encadrer les rôles des collectivités et des acteurs privés.  Créer un fonds national de santé alimenté par les revenus miniers, pour financer la CMU et les infrastructures sanitaires.  Lancer un programme pilote de CMU dans les zones rurales à forte vulnérabilité.  Mettre en place un observatoire de la qualité des soins, avec des indicateurs de performance et des audits réguliers. communautaire fondée sur la responsabilisation des collectivités locales et l’intégration des services de santé de proximité.  Créer des mécanismes de redevabilité citoyenne, comme ceux testés à Sédhiou au Sénégal, pour améliorer la transparence et l’efficacité des services.  Répartition spatial et équitable du corps médical sur toute l’étendue du territoire  Allocation de 25% du budget national au secteur de la Sante

Ressources humaines en santé

Investir dans la formation des médecins et moderniser l’écosystème sanitaire  Réorienter l’enseignement médical vers les soins de santé primaires, comme cela a été initié en Guinée depuis la Déclaration d’Alma-Ata.  Déployer des centres de santé communautaires et des cliniques mobiles pour combler les déserts médicaux, en s’inspirant des modèles du Rwanda et du Mali.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Accès aux soins de santé primaires

Santé Financement : FSE + BAD + PPP. 8. Créer une couverture maladie universelle avec des régimes d’assurance santé et un Registre Social Unique ciblant les ménages vulnérables. Financement : réforme dépenses publiques. 9. Renforcer la gratuité soins maternels & infantiles. Financement : fonds Santé + BM

Ressources humaines en santé

Doubler les effectifs en recrutant massivement, former, motiver et mieux répartir les agents de santé sur tout le territoire. Financement : taxe santé 0,5 % + GAVI + BM. 7. Doubler les salaires du personnel médical, paramédical, et instaurer des primes de ruralité et des formations continues certifiés ainsi que la mise en place d’un programme spécial d’acquisition de

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Accès aux soins de santé primaires

Déployer un programme de couverture santé universelle et de santé communautaire Garantir un accès équitable aux soins, urbains et ruraux.

Infrastructure hospitalière

Priorité 3 : Santé et bien-être pour tous • Moderniser les infrastructures sanitaires et renforcer le personnel de santé • Construire 4hopitaux régionaux Kindia – Labé - Kankan et N'Nzérékoré et 100 centres de santé de proximité Le projet de construction du Centre Mère et Enfant de Coyah • La construction de l'hôpital militaire à Dubréka

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Éducation

Politiques pour garantir une éducation de qualité pour tous

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Recherche et innovation

Intégrer les innovations et les technologies Utiliser l’intelligence artificielle et les plateformes mobiles pour le suivi des apprentissages et la formation des enseignants.

Éducation de base universelle

Promouvoir une éducation de base de qualité pour tous Nos Solutions concrètes pour une éducation de base de qualité 1. Moderniser le secteur de l’éducation sur trois axes prioritaires : Faire de la scolarisation primaire universelle une réalité, en créant toutes les conditions nécessaires d’accès à l’éducation pour tous les enfants, jeunes et adultes. Il sera question d’allouer plus de ressources pour construire suffisamment et équiper suffisamment de centres préscolaires, salles de classes, centres de formation et d’alphabétisation, en y déployant des enseignants qualifiés, motivés et en quantité suffisante ; Améliorer l’efficacité, la qualité et la pertinence des enseignements, apprentissages, formations universitaires, professionnelles et techniques en refondant les curricula, en dotant des centres d’apprentissage, des écoles et institutions d’enseignement supérieur d’équipements, de supports didactiques et pédagogues de dernière génération, y compris la généralisation des TIC ; Renforcer la gouvernance, la participation communautaire, le leadership administratif et pédagogique en améliorant le pilotage,la coordination et la décentralisation 2. Unifier la gouvernance du système éducatif Créer un ministère unique de l’éducation et de la formation, en fusionnant les trois ministères actuels (MENA, MERFPET, MESRS) pour améliorer la coordination, la planification et la redevabilité. Mettre en place une plateforme nationale de pilotage avec des indicateurs de performance partagés et des tableaux de bord accessibles. 2. Augmenter le financement et rationaliser les ressources Porter le budget de l’éducation à au moins 4 % du PIB, en ligne avec les standards régionaux. Réformer les arbitrages budgétaires internes pour prioriser les zones rurales, les filles, et les enfants en situation de handicap. 3. Améliorer les infrastructures et les conditions d’apprentissage Construire et réhabiliter des écoles avec accès à l’eau, à l’électricité et à des toilettes séparées pour filles et garçons. Déployer des écoles mobiles ou de proximité dans les zones reculées, comme en Éthiopie ou au Kenya. 5. Refondre les curricula et les référentiels de compétences Adapter les programmes aux besoins du marché du travail, à la citoyenneté et aux compétences de vie. Intégrer l’enseignement bilingue et les langues nationales pour améliorer l’inclusion. 6. Renforcer la gouvernance locale et la participation communautaire Décentraliser la gestion des écoles en impliquant les communes, les parents et les communautés locales. Promouvoir la cogestion et la redevabilité citoyenne, comme dans les communes de convergence soutenues par l’UNICEF. 7. Intégrer les innovations et les technologies Utiliser l’intelligence artificielle et les plateformes mobiles pour le suivi des apprentissages et la formation des enseignants. Déployer des programmes de rattrapage et d’apprentissage accéléré pour les enfants déscolarisés. Lancer une réforme législative pour encadrer la gouvernance unifiée de l’éducation. Créer un fonds national pour l’éducation de base, alimenté par les revenus miniers. Déployer un programme pilote de scolarisation universelle dans les zones à faible taux de scolarisation. Élaborer une stratégie nationale pour l’éducation inclusive, avec des cibles claires pour les enfants vulnérables.

Condition des enseignants

Renforcer la formation et la motivation des enseignants Réformer la formation initiale et continue des enseignants, en intégrant les TIC et les pédagogies actives. Mettre en place un cadre de carrière motivant, avec des primes pour les zones difficiles et des évaluations régulières.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Recherche et innovation

Intégrer les innovations et les technologies Utiliser l’intelligence artificielle et les plateformes mobiles pour le suivi des apprentissages et la formation des enseignants. Déployer des programmes de rattrapage et d’apprentissage accéléré pour les enfants déscolarisés. Lancer une réforme législative pour encadrer la gouvernance unifiée de l’éducation. Créer un fonds national pour l’éducation de base, alimenté par les revenus miniers. Déployer un programme pilote de scolarisation universelle dans les zones à faible taux de scolarisation. Élaborer une stratégie nationale pour l’éducation inclusive, avec des cibles claires pour les enfants vulnérables. Unifier la gouvernance du système éducatif Créer un ministère unique de l’éducation et de la formation, en fusionnant les trois ministères actuels (MENA, MERFPET, MESRS) pour améliorer la coordination, la planification et la redevabilité. Mettre en place une plateforme nationale de pilotage avec des indicateurs de performance partagés et des tableaux de bord accessibles. Déployer des écoles mobiles ou de proximité dans les zones reculées, comme en Éthiopie ou au Kenya.

Enseignement secondaire et technique

Construire 8 000 écoles et 3 000 lycées. Financement : FSE Simandou + IDA (BM).

Condition des enseignants

Recruter 50 000 enseignants. Financement : 0,6 % du PIB + recettes digitalisées. Doubler progressivement le salaire des enseignants en 5 ans, avec des primes et recruter 5 000 nouveaux enseignants en 5 ans avec la mise en place d’un programme spécial d’acquisition de logements pour le personnel de l’éducation.

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Recherche et innovation

Le candidat place la recherche scientifique et l’innovation au cœur de sa vision pour porter les ambitions du Programme Simandou 2040. Il envisage de créer un environnement propice à l’émergence de talents, à soutenir les chercheurs et à promouvoir la créativité, afin de générer des solutions adaptées aux défis de notre société. En investissant dans la recherche et en encourageant l’innovation, le projet veut transformer l’économie, valoriser le capital humain et impulser un développement durable au service de tous.

Éducation de base universelle

Simandou Academy vise à bâtir l’excellence éducative, à encourager le développement de la recherche et l’innovation afin de construire des compétences adaptées aux besoins en capital humain. Le projet vise à soutenir, en premier lieu, les initiatives encours notamment le Prytanée Militaire de Guinée (PMG), la Cité des sciences, les Cours Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE), l’École Nationale d’Administration (ENA), les bourses d’excellence, etc. Ces initiatives, bien que porteuses des ambitions d’excellence, ne susent pas pour traduire toute l’ambition du candidat à bâtir un capital humain compétitif. Simandou-Academy va : • Offrir des formations d’excellence • Moderniser des infrastructures de formation • Mettre en place des partenariats stratégiques La réforme du système éducatif, dans sa globalité est une priorité du candidat. Cette réforme garantira la qualité du système éducatif guinéen. La réforme envisagée permettra de garantir l’éducation obligatoire et gratuite dans les écoles publiques pour tout guinéen âgé de 5 à 17 ans. Des actions fortes sont envisagées pour garantir l’égalité et l’équité dans le système à tous les niveaux. DOMAINE 1.1 : EDUCATION ET CULTURE •Bâtir l’excellence éducative avec Simandou Academy • La gratuité de l’éducation et de la formation continue • Le programme maintien et qualité des apprentissages • Le programme d’alphabétisation et l’éducation des adultes • La construction de plus de 200 nouveaux établissements pré-universitaires

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Administration publique

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Gouvernance vertueuse et lutte contre la corruption

organiser les services des faits d’etat civil Le BL s’engagera à refondre totalement la politique des faits d’état civil en Guinée pour rendre le secteur crédible et performant. C’est la compétence première à accompagner auprès des Communes du pays. Notre priorité de mettre en place des outils et des cadres juridiques rigoureux dans les mains des Communes afin les faits civil (Mariage, Naissance et Décès) soient régulés par entièrement par l’autorité communale. Aucune juridiction ou aucune autorités centrale et déconcentrée ne sera désormais en charge des faits d’état civil dans notre pays. Nous allons accompagner les Communes à digitaliser, à mémoriser et archiver les faits d’état civil sur leurs territoires. Toutes les initiatives des Communes dans le secteur des faits d’état civil seront soutenues par le BL et des financements conséquents seront alloués dans ce sens. La maitrise de l’état sera au cœur de notre politique, car elle contribuera à la maitrise des chiffres de notre population en vue d’assurer un développement bien planifié et coordonné en fonction des besoins de la population. Nos Solutions concrètes pour renforcer l’éthique et la responsabilisation 1. Institutionnaliser l’éthique publique Créer une Haute Autorité de l’Éthique et de la Transparence indépendante, chargée de l’enquête de moralité et de la déclaration de biens pour les hauts fonctionnaires. Adopter un code d’éthique obligatoire pour tous les agents publics, avec des mécanismes de signalement confidentiels et des sanctions claires. 2. Moderniser la gestion publique Passer à un management public orienté résultats, avec des indicateurs de performance et des évaluations régulières. Mettre en œuvre des systèmes de suivi et d’évaluation robustes, comme ceux proposés dans le 3. Renforcer la redevabilité citoyenne: Publier des rapports réguliers et accessibles sur la gestion publique. Organiser des enquêtes de satisfaction citoyenne et des forums de dialogue pour évaluer les politiques publiques. Leadership éthique : les dirigeants doivent incarner les valeurs morales et promouvoir une culture de transparence et de respect. Gouvernance éthique : restaurer la confiance par des pratiques responsables, comme le suggère la Responsabilité sociale des institutions : intégrer l’éthique dans les stratégies de gouvernance pour améliorer la performance et la réputation. Lancer une réforme législative pour encadrer l’éthique publique et la gestion des conflits d’intérêts. Créer un Observatoire national de l’éthique et de la gouvernance, avec des représentants de la société civile. Digitaliser les procédures administratives pour réduire les opportunités de corruption. Former les agents publics à la gestion éthique et à la responsabilité sociale. 1.10. Renforcer l’institut national de statistiques pour mieux guider les décisions politiques du développement du pays.C’est pourquoi, le BL fera de l’INS (Institut National de la Statistique), une structure centrale et automne dans la gestion des données de notre pays. Son statut sera profondément revu et les moyens seront déployés à l’effet de le permettre d’être un organe fiable doté de capacités et des ressources de l’Etat pour mener à bien ses missions. L’INS sera responsable dans l’éclairage des politiques publiques au niveau national, régional et local et dans le ciblage des programmes de coopération bilatérale et multilatérale, grâce notamment à ses études socio-économiques et les simulations de leurs impacts sur l’évolution économique et sociale de la Guinée ; INS aura pour mandat la qualité de sa contribution au débat national sur les indicateurs économiques et du développement humain, la conformité de ses travaux statistiques avec les normes internationales dans le cadre de rapports de partenariat avec les institutions internationales dans ce domaine ; Enfin, Au niveau national et local : la Planification stratégique du développement, le recensement de la population

Fonction publique et neutralité administrative

Le BL propose la mise en place d’un organe autonome chargé de la gestion de la fonction publique. Il s’agit de la Création d’une Autorité de Régulation de la Fonction Publique (ARFP). Cette autorité indépendante sera chargée de : • Superviser les recrutements, nominations et promotions ; • Enquêter sur les cas de politisation ou de favoritisme ; • Publier des rapports annuels sur l’état de la neutralité administrative.Elle disposera de pouvoirs d’investigation et pourra recommander des sanctions disciplinaires ou judiciaires.

Ordre constitutionnel et architecture institutionnelle

1.1: Reconstruire des institutions fortes basées sur la redevabilité Le système actuel de la Guinée demeure dans les faits, un Etat particulièrement fragile du point de vue des institutions et de la démocratie qui laisse encore beaucoup à désirer. Depuis des décennies, la Guinée vit une succession de coups de d’Etat constitutionnel et militaire plongeant le pays dans une incertitude constante. Aux antipodes de l’état actuel de la Guinée, nous voulons reconstruire nos institutions pour qu’elles deviennent plus efficaces et redevables. Pour y arriver, le BL ambitionne tout d’abord la redéfinition et le développement d’un modèle politique et économique viables ; une croissance économique positive ; une société civile diversifiée et vigoureuse, dotée d’un grand nombre d’organisations indépendantes et responsables. Le Bloc Libéral veut mettre en valeur un régime semi présidentiel dans lequel les pouvoirs du Président de la République et du gouvernement central sont largement limités. Par exemple, le Président de la République ne peut dissoudre le Parlement ; ceci pour obéir au principe qui dit que le pouvoir ne s’exerce pas par la coercition, mais par la négociation. De même, les nominations par le Président de la République aux fonctions civiles et militaires seront désormais contrôlés et soumis à l’examen et à la confirmation par le Parlement. Celui-ci doit veiller au maintien des équilibres institutionnels. Le poste de Vice-président sera créé celui-ci deviendra le Président pour le reste du mandat du Président en cas de vacance du pouvoir. Le Président et son vice-président ne seront ni de la même ethnie, ni de la même région ni de la même religion. Il sera nommé par le décret du Président de la République et confirmé par un vote secret au Parlement.

Décentralisation et gouvernance locale

1.8. Engager des réformes de la gouvernance locale et de la décentralisation véritable du pays Le véritable développement de la Guinée passera nécessairement par une politique de décentralisation rigoureuse et une gouvernance locale inclusive comme facteurs centraux de la résolution des problèmes actuels qui minent les structures administratives affectant. Il est donc temps de rebâtir des institutions et des capacités ciblées pour une gouvernance locale inclusive et responsable. A ce titre, le BL envisagera un redécoupage territorial décentralisé en donnant un véritable pouvoir aux communautés et à la gouvernance locale. Le renforcement du pouvoir local véritablement débarrassé de toute tutelle rapprochée ou lointaine constituera nos priorités. Cela entrainera également la suppression des postes de Gouverneur, Préfet et de Sous-préfet sous leur forme actuelle. C’est l’administration locale autonome qui sera au cœur de notre système ! Les pouvoirs locaux seront débarrassés de toute tutelle lointaine ou rapprochée et ne seront soumis qu’au seul contrôle de la loi et des citoyens. Le nombre de paliers de gouvernement sera réduit à deux (local et central).our faire de l'Administration publique locale un moteur du développement, une réforme sera engagée en son sein. Les fonctionnaires bénéficieront de meilleures conditions de travail : la carrière doit être stable et fondée sur le mérite et l'effort dans le travail. A tous les niveaux, le BL privilégiera ses valeurs cardinales : la consultation, l'écoute et le dialogue social. Nous mettrons fin aux missions du Fond du développement Local (FDL) et son Agence Nationale de Financement des Collectivités (ANAFIC) dans sa forme actuelle y compris tous les autres mécanismes créent pour manipuler les ressources en place et lieux des Communes. Pour le BL,tous ces instruments sont aujourd’hui la manifestation d’une allocation de ressources publiques injustes et inefficaces et d’une mauvaise gestion financière des fonds publics limités existants. La redistribution du fruit minier ira directement aux Communes sans intermédiaires pour répondre aux enjeux de l’autonomie des Communes dotées d’une personnalité morale légale avec des cadres de gestions et de gouvernance contrôlées par la Loi. Il ne peut y exister aucun intermédiaire dans la gestion des affaires courants des collectivités. Ces instruments tels qu’ils existent ont prouvé des limites dans des réformes de la décentralisation en Guinée et ont créé des divergences entre la politique et la réalité en matière de planification, d’allocation et d’exécution du budget pour les services de base et les infrastructures. Les Solutions concrètes pour une réforme de la gouvernance locale sont : 1. Clarification des rôles et suppression des doublons • Supprimer les postes de Gouverneur, Préfet et Sous-préfet dans leur forme actuelle, comme proposé par le Bloc Libéral. • Réduire les niveaux de gouvernement à deux : central et local, avec des compétences clairement définies. 2. Autonomie juridique et financière des communes • Conférer aux communes une personnalité morale légale et un cadre de gestion contrôlé par la loi. • Supprimer les intermédiaires comme le FDL et l’ANAFIC dans leur forme actuelle, pour que les revenus miniers soient directement alloués aux communes. 3. Redécoupage territorial stratégique • Repenser le découpage territorial pour mieux refléter les réalités démographiques, économiques et sociales locales. • S’inspirer du modèle pour créer des pôles de gouvernance exemplaires 4. Réformes institutionnelles et administratives Carrière publique locale fondée sur le mérite Mettre en place un système de recrutement et de promotion basé sur les compétences, avec des conditions de travail améliorées pour les fonctionnaires locaux. Participation citoyenne et redevabilité Instituer des mécanismes de consultation publique régulière, des budgets participatifs, et des parlements d’enfants pour renforcer la démocratie locale. Prochaines étapes recommandées Élaborer une loi organique sur la gouvernance locale intégrant les principes de subsidiarité, de redevabilité et de transparence. Lancer un programme pilote dans des communes stratégiques pour tester le modèle de gouvernance locale autonome. Créer une plateforme nationale de dialogue entre les collectivités locales, les citoyens et l$es partenaires techniques et financiers. Bâtir un système de renforcement des valeurs d’éthique, d’efficacité, d’efficience et de responsabilisation des gouvernants en luttant contre les travers sociaux (corruption, …)

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Gouvernance vertueuse et lutte contre la corruption

• Moderniser l’administration publique et lutter contre la corruption ; •Assurer la transparence dans la gestion des ressources publiques ; •Notre priorité première est de renforcer l’État de droit et de garantir une gouvernance exemplaire. • Assurer la transparence dans la gestion des ressources publiques ; •Former les agents publics aux nouveaux outils numériques, équipements, évaluation de la performance...; •Promouvoir la décentralisation et la participation citoyenne à la vie de la nation ; Renforcer les capacités techniques et éthiques des fonctionnaires à travers la formation continue et la digitalisation . •Reformer en profondeur la fonction publique pour renforcer la performance, la transparent et la motivation des agents ; •Moderniser le marché du travail par la promotion de l’emploi décent, la protection sociale et la valorisation du capital humain ; •Mettre en place une politique nationale de l’emploi fondée sur l’innovation, l’entrepreneuriat et le développement local ; •Instaurer une coopération panafricaine du travail, facilitant la mobilité des compétences africaines et reconnaissances mutuelles des qualifications ;

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Gouvernance vertueuse et lutte contre la corruption

Gouvernance et Exécution 32. Créer une Haute Autorité pour la Transparence dotée de pouvoirs d’enquête et de sanction. 33. Rendre obligatoire la déclaration et la publication du patrimoine de tous les responsables publics au début et à la fin de leur mandat. 34. Publier chaque année la liste des avantages (primes, logements, indemnités) des hauts responsables. 35. Réduire de moitié le nombre d’Établissements Publics Administratifs (EPA) (de 150 à 80) et le parc automobile de l’État avec un moratoire de 3 ans sur les achats de véhicules. 36. Réaliser 3 000 milliards de GNF d’économies annuelles (10 % des dépenses totales) par la réduction du train de vie de l’État.

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Gouvernance vertueuse et lutte contre la corruption

Volet politique : Consolider I'État de droit et les institutions • Démocratiques, en garantissant la séparation des pouvoirs et le respect des libertés fondamentales. • Renforcer la Constitution comme socle de stabilité et de lègitimitè. • Promouvoir une gouvernance inclusive et participative, où chaque citoyen se sent représenté et engagé dans la construction nationale PRIORITÉ 4 : ÉTABLIR UNE GOUVERNANCE VERTUEUSE ET LUTTER CONTRE LA CORRUPTION La lutte contre la corruption est érigée en pilier central dui projet de société porté par le candidat. Ce projet prévoit la mise en place par I Etat des mécanismes robustes de prévention, de détection et de répression des pratiques déviantes, avec l'application de sanctions exemplaires et le développement d’une culture de redevabilité, de responsabilité et de transparence dans la gestion publique.

Fonction publique et neutralité administrative

PRIORITÉ 1: RÉTABLIR ET RENFORCER L'ORDRE CONSTITUTIONNEL La nouvelle Constitution de la République de Guinée, adoptée à une majorité écrasante par le peuple le 21 septembre 2025, est le premier maillon du rétablissement de l'ordre constitutionnel. Ce texte fait l'objet d'un large consensus national et incarne la volonté des Guinéennes et Guinéens de consolider un État de droit moderne, garant du pluralisme, de la séparation effective des pouvoirs, du respect des libertés et de la justice sociale. La nouvelle Constitution consacre notamment : • La forme républicaine de l'État et la laïcité comme socle de l'unité nationale • Le renforcement du cadre démocratique, avec l'institutionnalisation d'un parlement bicameral composé de I ‘Assemblée nationale et du Sénat, pour assurer l'équilibre et le contrôle mutuel des pouvoirs • La déclaration de l’administration publique comme service dédié au bien-être collectif)et à la satisfaction des besoins des populations. La garantie de l'indépendance du pouvoir judiciaire, de la transparence des institutions et de la responsabilité des gouvernants. Et après avoir doté le pays d'une Constitution qui ressemble et rassemble les Guinéennes et Guinéens, la réforme constitutionnelle va se poursuivre pour bâtir une gouvernance démocratique solide qui garantira le vivre-ensemble et constituera le socle du développement de notre pays. PRIORITÉ 6: RÉFORMER L'ADMINISTRATION PUBLIQUE La réforme de I‘Administration publique constitue un axe stratégique pour la construction d'une Guinée juste, prospère et solidaire .Elle vise à moderniser les structures administratives, à améliorer la qualité du service public et à professionnaliser la gestion des ressources humaines. L’objectif est de faire de I ’Administration un instrument efficace, transparent au service exclusif des populations, en valorisant la compétence, l'intégrité et l'éthique dans la conduite des affaires publiques. La réorganisation institutionnelle de l'État s'inscrit dans la logique de continuité de la réforme constitutionnelle ayant conduit au retour a l'ordre constitutionnel. Ainsi, les premières actions porteront sur la mise en place et l'opérationnalisation de la nouvelle architecture institutionnelle du pays pour conforter la gouvernance démocratique et le respect du principe de séparation et d'équilibre entre les pouvoirs publics constitutionnels. Cette configuration favorise la stabilité, la prévention des dérives autoritaires et l'épanouissement du pluralisme et du débat démocratique.

Ordre constitutionnel et architecture institutionnelle

PRIORITÉ 1: RÉTABLIR ET RENFORCER L'ORDRE CONSTITUTIONNEL La nouvelle Constitution de la République de Guinée, adoptée à une majorité écrasante par le peuple le 21 septembre 2025, est le premier maillon du rétablissement de l'ordre constitutionnel. Ce texte fait l'objet d'un large consensus national et incarne la volonté des Guinéennes et Guinéens de consolider un État de droit moderne, garant du pluralisme, de la séparation effective des pouvoirs, du respect des libertés et de la justice sociale. La nouvelle Constitution consacre notamment : • La forme républicaine de l'État et la laïcité comme socle de l'unité nationale • Le renforcement du cadre démocratique, avec l'institutionnalisation d'un parlement bicameral composé de I ‘Assemblée nationale et du Sénat, pour assurer l'équilibre et le contrôle mutuel des pouvoirs • La déclaration de l’administration publique comme service dédié au bien-être collectif)et à la satisfaction des besoins des populations. La garantie de l'indépendance du pouvoir judiciaire, de la transparence des institutions et de la responsabilité des gouvernants. Et après avoir doté le pays d'une Constitution qui ressemble et rassemble les Guinéennes et Guinéens, la réforme constitutionnelle va se poursuivre pour bâtir une gouvernance démocratique solide qui garantira le vivre-ensemble et constituera le socle du développement de notre pays. PRIORITÉ 6: RÉFORMER L'ADMINISTRATION PUBLIQUE La réforme de I‘Administration publique constitue un axe stratégique pour la construction d'une Guinée juste, prospère et solidaire .Elle vise à moderniser les structures administratives, à améliorer la qualité du service public et à professionnaliser la gestion des ressources humaines. L’objectif est de faire de I ’Administration un instrument efficace, transparent au service exclusif des populations, en valorisant la compétence, l'intégrité et l'éthique dans la conduite des affaires publiques. La réorganisation institutionnelle de l'État s'inscrit dans la logique de continuité de la réforme constitutionnelle ayant conduit au retour a l'ordre constitutionnel. Ainsi, les premières actions porteront sur la mise en place et l'opérationnalisation de la nouvelle architecture institutionnelle du pays pour conforter la gouvernance démocratique et le respect du principe de séparation et d'équilibre entre les pouvoirs publics constitutionnels. Cette configuration favorise la stabilité, la prévention des dérives autoritaires et l'épanouissement du pluralisme et du débat démocratique.

Décentralisation et gouvernance locale

PRIORITÉ 5: RENFORCER LA DÉCENTRALISATION, LE DÉVELOPPEMENT LOCAL ET LA PARTICIPATION CITOYENNE La politique de décentralisation vise à rapprocher l’ État des citoyennes et citoyens. Le transfert effectif des compétences et des ressources vers les collectivités locales permet une gestion publique plus adaptée aux spécificités de chaque territoire. Cette dynamique favorise l'initiative locale, renforce la démocratie de proximité et encourage I implication active des populations dans la vie publique.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Emploi

Stratégies de création d'emplois et d'insertion professionnelle

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Aucune position connue

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Aucune position connue

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Économie

Politiques économiques pour la croissance et le développement

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Finance publique et fiscalité

Promouvoir l’assainissement des finances publiques et la réforme du système fiscal et bancaire Les solutions du BL sont : 1. Renforcement de la transparence et de la redevabilité 2. Révision de la structure des dépenses Mettre en œuvre un système de suivi budgétaire participatif impliquant la société civile, comme recommandé dans le Summary_Guinea Business Case_2pages_finances publiques. [Summary_Gu...publiques] Publier régulièrement des rapports d’exécution budgétaire accessibles au public, comme celui analysé par Waleed Rashwan Mahran Rashwan. Réduire les dépenses non productives (ex. masse salariale rigide représentant 49,4 % des dépenses ordinaires). Réallouer les ressources vers les secteurs sociaux sous financés : santé (3,55 %), protection sociale (0,21 %), genre et famille (0,11 %). 3. Renforcement de la gestion de la dette Appliquer les recommandations du 2014_07_Revue reforme des finances publiques pour une gestion proactive de la dette et éviter l’accumulation d’arriérés. 4. Réforme du système fiscal Modernisation de l’administration fiscale Digitaliser les procédures fiscales pour améliorer la collecte et réduire les fraudes. Former les agents fiscaux à l’analyse des flux financiers illicites et à la fiscalité locale. Élargissement de l’assiette fiscale Intégrer le secteur informel dans le système fiscal via des mécanismes incitatifs. Mettre en œuvre une fiscalité progressive pour réduire les inégalités. Partenariats stratégiques Renforcer la coopération avec des partenaires comme l’UNICEF £pour mobiliser des ressources domestiques et améliorer la budgétisation sensible aux enfants et aux vulnérables. 5. Réforme du système bancaire Accès au crédit pour les PME et les jeunes Créer des fonds de garantie pour faciliter l’accès au financement. Encourager les banques à développer des produits adaptés aux entrepreneurs locaux. Régulation et supervision Renforcer les capacités de la Banque Centrale pour surveiller les risques systémiques. Mettre en place un cadre de régulation procyclique, comme proposé dans le texte initial, pour stabiliser le système en période de contraintes financières. Inclusion financière Promouvoir la bancarisation via le mobile banking et les services financiers digitaux. Déployer des campagnes d’éducation financière ciblées. 6. Appui à la réforme via des projets structurants Intégrer les réformes dans les Programmes Triennaux d’Investissement (PTI) et le Budget Spécial d’Investissement (BSI), Valoriser les initiatives du BL qui propose une refonte de l’État et une réforme profonde du système fiscal et bancaire.

Agriculture et souveraineté alimentaire

Pour le BL, la diversification des sources de croissance et de développement durable est indispensable. Pour y arriver, il entend démarrer la mutation vers une économie à forte valeur ajoutée. Tels sont des objectifs à atteindre : 3.1 : Promouvoir une agriculture durable et sensible aux besoins des paysans, un acces a l’eau pour tous La Guinée est un pays potentiellement agricole. C’est pourquoi le BL mettra en place une Politique agricole innovante (PAI) qui consistera à placer le paysan au cœur de la politique agricole. Les reformes seront entreprises pour restructurer le secteur agricole en subventionnant massivement les PME agricoles. Nous allons encourager l’innovation et l’agro business pour rentabiliser davantage sur le travail du paysan. Les agriculteurs seront protégés par une loi à l’effet de leur permettre de profiter pleinement le fruit de leur travail. L’accent sur mis sur la formation et le développement des outils et la disponibilité des intrants agricoles. L’agriculture familiale et rudimentaire sera révolutionnée au profit d’une agriculture moderne respectueuse de l’environnement. Les écoles de formations seront créées pour booster le secteur avec une décentralisation des pools agricoles. Les fonctionnaires et ingénieurs agricoles seront déployés en fonction de ces pools agricoles de croissance. La créativité et l'innovation seront nécessaires. En particulier, un cadre juridique et réglementaire favorable aux partenariats publics privés sera rapidement mis en place pour favoriser une forte implication du secteur privé national et international dans tous les projets agricoles.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Finance publique et fiscalité

Moderniser le cycle budgétaire de la planification à la reddition des comptes ; ▪ Garantir la transparence et la traçabilité de toutes les dépenses publiques ; ▪ Améliorer la mobilisation des recettes internes et la performance fiscale; ▪ Assurer une meilleure synergie entre budget central et budgets locaux ; ▪ Promouvoir une gestion publique axée sur les résultats et la responsabilité; ▪ Mettre en place un cadre fiscal et budgétaire stable, inclusif et résilient ;

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Finance publique et fiscalité

Promouvoir l’assainissement des finances publiques et la réforme du système fiscal et bancaire Les solutions du BL sont : 1. Renforcement de la transparence et de la redevabilité 2. Révision de la structure des dépenses Mettre en œuvre un système de suivi budgétaire participatif impliquant la société civile, comme recommandé dans le Summary_Guinea Business Case_2pages_finances publiques. [Summary_Gu...publiques] Publier régulièrement des rapports d’exécution budgétaire accessibles au public, comme celui analysé par Waleed Rashwan Mahran Rashwan. Réduire les dépenses non productives (ex. masse salariale rigide représentant 49,4 % des dépenses ordinaires). Réallouer les ressources vers les secteurs sociaux sous financés : santé (3,55 %), protection sociale (0,21 %), genre et famille (0,11 %). 3. Renforcement de la gestion de la dette  Appliquer les recommandations du 2014_07_Revue reforme des finances publiques pour une gestion proactive de la dette et éviter l’accumulation d’arriérés. 4. Réforme du système fiscal Modernisation de l’administration fiscale Digitaliser les procédures fiscales pour améliorer la collecte et réduire les fraudes. Former les agents fiscaux à l’analyse des flux financiers illicites et à la fiscalité locale. Élargissement de l’assiette fiscale Intégrer le secteur informel dans le système fiscal via des mécanismes incitatifs. Mettre en œuvre une fiscalité progressive pour réduire les inégalités. Partenariats stratégiques Renforcer la coopération avec des partenaires comme l’UNICEF £pour mobiliser des ressources domestiques et améliorer la budgétisation sensible aux enfants et aux vulnérables. 5. Réforme du système bancaire Accès au crédit pour les PME et les jeunes Créer des fonds de garantie pour faciliter l’accès au financement.  Encourager les banques à développer des produits adaptés aux entrepreneurs locaux. Régulation et supervision Renforcer les capacités de la Banque Centrale pour surveiller les risques systémiques. Mettre en place un cadre de régulation procyclique, comme proposé dans le texte initial, pour stabiliser le système en période de contraintes financières. Inclusion financière Promouvoir la bancarisation via le mobile banking et les services financiers digitaux. Déployer des campagnes d’éducation financière ciblées. 6. Appui à la réforme via des projets structurants Intégrer les réformes dans les Programmes Triennaux d’Investissement (PTI) et le Budget Spécial d’Investissement (BSI), Valoriser les initiatives du BL qui propose une refonte de l’État et une réforme profonde du système fiscal et bancaire.

Agriculture et souveraineté alimentaire

12. Mettre en œuvre un Plan National de Souveraineté Alimentaire visant l’autosuffisance dans cinq filières prioritaires (riz, maïs, manioc, fruits, produits d’élevage. Financement : FAO/BAD + rentes agricoles. 13. Tripler le budget destiné à l’agriculture en améliorant la subvention à l’hectare. Financement : onds agricole + taxes ciblées. 14. Réguler importations agricoles selon production locale. Financement : fonds compétitivité + stabilisation

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Finance publique et fiscalité

Priorité 4: Gouvernance économique et financière • Moderniser le système d'information de la Direction Générale des Impôts (SAFIG 2). • Digitaliser la passation et le contrôle des marchés publics. • Créer un climat des affaires attractif et un cadre financier solide. • Favoriser la croissance du secteur privé et la répartition juste de la richesse.

Agriculture et souveraineté alimentaire

Priorité 1: Agriculture, agro-industrie et commerce • Relancer une agriculture moderne et durable pour garantir la sécurité alimentaire. • Développer l'industrie agroalimentaire et les chaînes de valeur agricoles (céréales, fruits...). • . • Favoriser l’autonomisation des jeunes et des femmes par l'accès au crédit et a l'entrepreneuriat.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Sécurité

Mesures pour garantir la sécurité des citoyens

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Aucune position connue

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Justice et système judiciaire

Le projet porté par le candidat Mamadi DOUMBOUYA place la création d’un État moderne et impartial au cœur du projet national. Il s’agit d’établir un État respectueux des lois et des principes fondamentaux, où chaque citoyenne, chaque citoyen bénéficie d’une protection équitable. Ce nouveau paradigme vise à réhabiliter la justice et à assurer la préservation des droits de tous, dans un environnement où la légalité et la dignité humaine sont centrales. La réforme profonde de la Justice s’impose comme une priorité. Les institutions judiciaires doivent être indépendantes, impartiales et accessibles sans entrave, ni discrimination. Cette refonte vise à garantir l’impartialité des décisions, à renforcer la confiance des populations dans l’institution judiciaire et à permettre un accès effectif pour tous. La création d’une Cour Spéciale de Justice de la République

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

Environnement

Initiatives pour la protection de l'environnement

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Faya Lansana Millimouno
Faya Lansana Millimouno
BL

Gestion des déchets

Inventer des mécanismes de la protection de l’environnement et promouvoir une industrie créatrice d’emplois productifs Nos solutions 1. Plan directeur d’assainissement urbain Élaborer un cadastre environnemental communal pour cartographier les zones à risque et les flux de déchets. Créer des centres de tri et de valorisation des déchets industriels dans les zones économiques spéciales. Mettre en place un système de redevance écologique pour les entreprises polluantes, avec incitations pour celles qui recyclent. 2 Programme de recyclage des eaux usées et des déchets Installer des stations de traitement des eaux usées dans les zones urbaines et industrielles. Soutenir des projets de compostage communautaire pour produire des engrais organiques. Promouvoir la valorisation énergétique des déchets (biogaz, pyrolyse) dans les communes rurales.

Protection de la forêt et de la biodiversité

3. Protection de la biodiversité  Créer des aires protégées communautaires gérées par les populations locales. Former des brigades vertes pour surveiller la faune et la flore et lutter contre le braconnage. Intégrer la biodiversité dans les curricula scolaires et les campagnes de sensibilisation. 4. Prévention de la pollution industrielle 5. Amélioration de l’habitat rural et urbain Lancer un programme de logements écologiques avec matériaux locaux et systèmes de récupération d’eau. Réhabiliter les quartiers précaires avec des nfrastructures vertes (espaces verts, éclairage ,solaire). Intégrer des normes environnementales dans les permis de construire. , Industrie verte et circulaire Soutenir les startups de l’économie circulaire (recyclage, transformation locale, écoconstruction). Créer des zones industrielles durables avec accès à l’énergie renouvelable et à l’eau recyclée. Mettre en place un fonds d’innovation écologique pour financer les projets industriels à faible empreinte carbone. 2. Formation et insertion professionnelle Développer des centres de formation aux métiers verts : énergies renouvelables, gestion des déchets, agriculture durable. Intégrer les jeunes, femmes et personnes handicapées dans les programmes d’emploi productif. Créer des incubateurs industriels régionaux pour accompagner les porteurs de projets. 3. Fiscalité incitative Réduire les taxes pour les entreprises qui investissent dans des technologies propres. Créer un crédit d’impôt vert pour les investissements dans la transition écologique. Mettre en place un système de bonus-malus environnemental pour orienter les choix industriels. Adopter une loi sur la transition écologique et industrielle, avec des objectifs clairs et des mécanismes de suivi. Créer un Observatoire national de l’environnement et de l’industrie verte, pour mesurer les progrès et orienter les politiques. Lancer un programme pilote dans 5 régions pour tester l’intégration des mécanismes nvironnementaux et industriels. 6. Plan national de reboisement Reboiser toutes les terres non cultivables avec des espèces locales et utiles (fruitiers, médicinaux). Créer des pépinières communales et des emplois verts pour les jeunes. Lancer une campagne nationale “Un citoyen, un arbre”. Promotion d’une industrie créatrice d’emplois productifs. Imposer un bilan carbone obligatoire pour les industries extractives et manufacturières. Mettre en place un label “Industrie propre” pour les entreprises respectueuses de l’environnement. Créer une agence nationale de contrôle environnemental dotée de pouvoirs de sanction.

Mohamed Shérif Tounkara
Mohamed Shérif Tounkara
Renouveau Citoyen

Aucune position connue

Ibrahima Abé Sylla
Ibrahima Abé Sylla
NGR

Aucune position connue

Elhadj Bouna Keïta
Elhadj Bouna Keïta
RGP

Aucune position connue

Makalé Camara
Makalé Camara
FAN

Aucune position connue

Mohamed Nabé
Mohamed Nabé
ARP

Aucune position connue

Abdoulaye Yéro Baldé
Abdoulaye Yéro Baldé
FRONDEG

Aucune position connue

Mamadi Doumbouya
Mamadi Doumbouya
GMD

Protection de la forêt et de la biodiversité

Priorité 7: Protection de l'environnement et gestion durable des ressources • Valoriser les ressources naturelles et protéger la biodiversité (massif du Fouta-Djalon...) Développer les énergies renouvelables et les technologies propres. • Promouvoir l’écotourisme et la gestion responsable des aires protégées. • Impliquer les communautés dans le développement local et durable.

Abdoulaye Kourouma
Abdoulaye Kourouma
RRD

Aucune position connue

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